9 février 2019
corps dansant paysage
je ne connaissais pas Teo Hernandez, je n'en avais même jamais entendu parler... dans l'exposition que lui consacre la Villa Vassilieff, on découvre plusieurs de ses films, jusqu'à donner le tournis parfois, car ça bouge, ça floute, ça tangue, c'est une image dans le mouvement et en mouvement. Il ya des paroles aussi, à écouter au casque, comme si les deux matières film et texte étaient dissociées, c'est beau, direct, brut. Le titre Eclater les apparences me paraît un peu raide par rapport au travail.
Dans ce film, un homme danse sur le haut d'une falaise, en face d'une autre falaise, son corps dessine des lignes de fuite, des ouvertures, des angles, devient lui aussi paysage, dans ce ciel.
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