cortexMisia

La Passion de Jeanne d'Arc, vue par Doriane Souilhol, à Saint Merry, voix de Dieu, une main de fer, périra

Ingres, vu au salon du dessin, Palais Broignart

Peut-être mon préféré... Exposion Fenêtres, Ellsworth Kelly, 

Ces quatre femmes me font penser aux soeurs Brown, dont Nicholas Nixon fait le portrait à quatre depuis 1975... Une photo annuelle pour montrer le temps, la beauté, la vie, le lien entre les quatre femmes, la série me bouleverse à chaque fois. 

Panneau rouge, 1936, Calder

je ne connaissais pas Teo Hernandez, je n'en avais même jamais entendu parler... dans l'exposition que lui consacre la Villa Vassilieff, on découvre plusieurs de ses films,  jusqu'à donner le tournis parfois, car ça bouge, ça floute, ça tangue, c'est une image dans le mouvement et en mouvement. Il ya des paroles aussi, à écouter au casque, comme si les deux matières film et texte étaient dissociées, c'est beau, direct, brut. Le titre Eclater les apparences me paraît un peu raide par rapport au travail. 

Dans ce film, un homme danse sur le haut d'une falaise, en face d'une autre falaise, son corps dessine des lignes de fuite, des ouvertures, des angles, devient lui aussi paysage, dans ce ciel. 

Alors oui, le tatouage peut être un geste emprunt de douceur et de complète harmonie, faire oublier que la peau est marquée, qu'elle boursoufle, fait mal... Avec Frédéric Liver et Alessandra Svatek, se sont tatoués en direct, proposition Commun Common / Public Pool #6, sur une invitation du Frac Champagne Ardenne,