where wath was. Où quelque chose fut...

Une impression du sacré est perceptible dans le travail de Paul Wallach, bien que ce ne soit pas encore la chapelle. Non pas un sacré  religieux, liturgique, spirituel mais le sacré que l'on peut ressentir en présence d'oeuvres "justes", parfaites dans l'équilibre de ce point où il est en contact pur avec l'espace, avec le temps, ce moment aussi où celui qui regarde est en contact avec soi-même. Cela tient à un fil tendu, une suspension fragile, une construction de vides, une sensation optique vibrante. J'ai aimé toutes les pièces de l'exposition, sans exception. Quelque chose fut, en moi. Where wath was, Paul Wallach, Ecuries du domaine de Kerguéhennec, jusqu'au 1er novembre 2015.