4 août 2015
étreinte
"Prends-moi dans tes bras", comme un cri d'amour, et cette simple action accomplie déferle tout, enfin Pierre sourit, enfin Pierre lâche les armes, enfin Pierre enlace la femme qu'il aime et qu'il ne savait plus aimer, moment de pur bonheur, tant de détours, de distance, de vide entre eux, pour arriver à cette scène finale, félicité incandescente, qui nous saisit par sa vérité. Pas de photo, juste s'en souvenir. L'ombre des femmes de Philippe Garel.
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